The ZI force was back to base. A ceremony was held to commemorate the fallen. Thompson and Parkson were standing in the front row thinking about their last mission. It had been a disaster on their part. Zombies were easier to come by than humans willing to fight them or sentient zombies. Parkson felt especially responsible for the death of Theodore Smith. She blamed herself even though she knew it wasn’t her fault. But the feeling was there nonetheless. Suddenly, she felt Thompson elbow in her ribs. She looked at him surprised than followed is eyes. There, almost hidden by a tree stood a medium size man. He wore a black “Indiana Jones” hat, a black trench coat with the unit insignia and another one under it: A red cross on a white field. His name tag barely visible under the trench coat named him G. Drake. Parkson felt her knees grow week. A legend stood with them. And by his look, he was not happy.
Once the ceremony was over, Parkson and Thompson tried to hear what commander Drake had to say but they were ushered inside by the commander’s personal assistant. Later on, Parkson and Thompson almost collided when they both reached the commander’s room while trying to look over their shoulders. Thompson grinned at his friend and they both put their ears on the door. And since it was a metal door, sound was quite easy to hear. After a while both lost their grin and stood back. Exchanging a concerned look, they left the corridor and went to the mess for a discreet talk. The place being noisy, they knew they could talk without fear of being overheard.
- You know, if what we heard is true, or even close to being true, we are in deep shit.
- I hear ya lass, I hear ya.
- But...
- I know, I know lass. But what can we do? If we still had Andrews, we might have a chance. But he is gone.
- Still, it might be a coincidence no?
Thompson simply sighed. I don’t believe so, he answered.
- But, the URSS?
- It’s called Russia again lass.
- Who care for the fucking name Thomas! You know what happened last time.
- Yeah, I know Alice, I know.
They both sighed, remembering what had happened to their last trip to Mother Russia, known as URSS at the time.
To say that the mission had been hard was to say that the sun was hot or water wet. This mission was still referred to as: The White Hell. So many things had gone wrong that they were too numerous to list. Starting with the government who had sent approximately 5 000 soldiers who had become Z’s food and new recruits to the USA who had tried to insert spies. Said spies had lost their head and started shooting everyone and had had to been killed by their own team mate. And the cold, and the wet, and the thawing of some ancient Z’s and the cold again. It had been 8 month of pure hell. They had tried to teach to the government how to take care of the Z’s with normal troops but once their mission was over, they had been thanked, decorated and sent back to Canada so fast they were still in their parade uniform when they boarded the plane. Not a good memory overall.
- Do you think it will be the same?
- Nah. Ach! It would be a right pain in the ars if it were.
- But...the nature of the mission is...
- Don’t say it out loud lass. Even here. It would only get the crew scared.
- Well, I am. And I happen to be one who survived!
Thompson gave her a sympatric smile. It was never easy to go on a mission who was almost identical to how you became a zombie. Especially in Alice’s case. Her “death” had been highly traumatic. That she had been able to recover at all was a proof of her toughness.
- Well lass, not much we can do now. Let’s go back and relax until our next shift, what do you say?
- Ok big guy. I guess you are right, sometime.
She gave Thompson a wink and went to her quarters.
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La force AZ était de retour à la base. Une cérémonie pour honorer les disparus fut organisée. Thompson et Parkson étaient aux premiers rangs et repensait à la mission. Pour leur part, elle avait été un désastre. Il était plus facile de trouver des zombies que des humains capable de les combattre ou encore plus difficile, des zombies conscients. Parkson se sentait personnellement responsable de ce qui était arrivé à Théodore Smith. Malgré le fait qu’elle savait que ce n’était pas sa faute, elle se sentait quand-même coupable. Elle sentit soudainement le coude de Thompson frapper ses côtes. Elle lui jeta un regard surpris et suivit son regard. Presque caché par un arbre se tenait un homme de taille moyenne. Il portait un chapeau noir à la « Indiana Jones », un manteau long noir avec le sigle de leur unité et un second juste en dessous : une crois rouge sur un fond blanc. Son nom, à peine visible sous le meneau disait : G.Drake. Parkson sentit ses genoux vaciller. Une légende était parmi eux. Et à son expression, il n’était pas content.
Une fois la cérémonie terminée, Parkson et Thompson tentèrent d’écouter ce que le commandant Drake avait à dire mais ils furent dirigés vers la base par l’assistant personnel du commandant. Plus tard, Parkson et Thompson entrèrent pratiquement en collision l’un avec l’autre alors qu’ils arrivaient à la chambre du commandant. S’ils avaient regardé devant eux et non derrière eux, ils n’auraient pas manqué de se fracasser le crâne mutuellement. Ils échangèrent un sourire coupable et placèrent leur oreille contre la porte. Le fait qu’elle soit en acier aida grandement à ce qu’ils entendent clairement l’échange. Après un certain temps, leur sourire s’effaça et ils reculèrent. Ils échangèrent un regard soucieux et quittèrent le corridor pour se diriger vers la cantine. L’endroit étant bruyant, c’était la place idéale pour discuter sans être entendu par les autres.
- Tu sais, si ce qu’on a entendu est vrais, ou même juste un peu vrais, on est dans la merde jusqu’au cou.
- J’sais ma grande, j’sais.
- Mais…
- Qu’est-ce qu’on peut faire? Si on avait encore Andrews, on aurait peut-être une chance, mais y-est partis.
- Ça pourrait être une coïncidence non?
Thompson se contenta de soupirer. J’crois pas non, répondit-il.
- Mais, l’URSS?
- C’est la Russie maintenant.
- On s’en fou du putin de nom Thomas! Tu sais ce qui s’est passé la dernière fois!
- J’sais Alice, je sais.
Ils soupirèrent aux souvenirs de leurs dernier voyage à la Mère Patrie, encore l’URSS à ce moment.
Dire que la mission avait été difficile c’était comme de dire que le soleil est brillant ou que de l’eau c’est mouillé. Cette mission était devenue une légende en soit : L’enfer Blanc. Tant de choses avaient mal tournées qu’elles étaient trop nombreuses pour en faire une liste. Tout commençait avec le gouvernement de l’époque qui avait envoyé environ 5 000 soldats qui étaient devenu de la nourriture pour les Zed’s et ensuite de nouvelles recrues. Puis, les USA qui avaient caché des espions parmi leurs rangs. Lesquels avaient perdu la tête et s’étaient mis à tirer sur tout ce qui bougeait, amis comme ennemis jusqu’à ce que leurs propres unité les tires. Puis, il y avait eu le froid, l’humidité, le dégel avec l’apparition de zombies si vieux qu’ils pouvaient être qualifié d’anciens puis le froid à nouveau. Ça avait été 8 mois d’enfer. Ils avaient tenté d’instruire le gouvernement sur les procédures pour que des unités normales s’occupe d’une infestation de Zed’s mais dès que leurs mission avait été terminé, ils avaient reçus des décorations et avait été renvoyé au Canada si rapidement qu’ils étaient encore dans leurs habits d’apparats alors qu’ils montaient dans l’avion. En somme, de très mauvais souvenirs.
- Tu crois qu’ils ont gardé la même mentalité?
- Nah. Ach! Ça serait un bordel de calvaire si c’était le cas.
- Mais… la nature même de notre mission c’est…
- Silence! Ne dit rien ma grande. Même ici, si quelqu’un entends, le reste des hommes vont se mettre à avoir peur.
- Hé bien, moi j’ai peur! Et je suis une des chanceuse qui a survécu!
Thompson lui offrit un sourire compatissant. Ce n’était jamais facile d’aller en mission surtout lorsque les conditions étaient pratiquement identiques à celles qui vous avait rendu zombie. Spécialement dans le cas d’Alice. Sa « mort » avait été hautement traumatisante. Qu’elle ait réussit à surmonter le traumatisme était une preuve de sa force intérieur.
- Hé bien ma grande, ya pas grand choses qu’on peut faire à s’moment. On devrait retourner se reposer jusqu’à notre prochain quart, qu’est-ce que t’en dis?
- Ok mon grand, il faut bien que tu aie raisons…parfois.
Elle lui fit un clin d’œil et prit la direction de ses quartiers.
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